05/08/2016

Le conteur d’Alysia ch 5 : Rafika l'impitoyable

Rafika la plus grande monsclave de tous les temps va participer à son dernier combat mais il va être plus compliqué que prévu.

Je m’appelle Rafika, j’ai 17 ans et je suis une monsclave . J’ai pris la vie de 998 personnes depuis le début de ma carrière il y a 5 ans et dans quelques minutes ce chiffre augmentera à nouveau. Mon adversaire cette fois fais facilement 2m de haut (ce qui est déjà un miracle ,on rencontre rarement ce genre d’ennemi à cause de l’incident de Jovénia) et il avait 4 bras chacun équipé d’une épée et d’énormes muscles ,c’est dommage si il ne m’avait pas rencontrer il aurait peut-être pu regagner sa liberté . Comme à son habitude le présentateur fit son boulot en hurlant bien fort :

-Mesdames et Messieurs ce soir pour votre plus grand plaisir combattrons : Gul-Dan le colosse avec 47 victoires et comme adversaire notre plus grande star, l’incarnation de la Mort en personne avec 998 victoires, je vous demande d’applaudir Rafika l’impitoyable !!!

La foule hurla de joie ils adoraient les bains de sang et ils savaient qu’ils allaient être servis avec moi. J’entendis le bruit de la cloche qui signalait le début du combat .Mon adversaire me fonça dessus, un peu trop vite malheureusement, j’esquiva et il se pris le mur juste derrière moi qui se transforma instantanément en gravier avant qu’il se retourne avec ses 4 épées pointées vers moi sans une égratignure. J’esquivais la plus part de ses coups et en parai quelques un avec mes griffes jusqu’à ce que la foule commence à s’ennuyer puis je fis semblant de glisser ,le géant pointa ses 4 épées sur mon torse et chargea. Au moment où il allait me transpercer je sauta au-dessus de lui en attrapant une de ses armes au passage et retomba sur ses épaule avant de faire un énorme arc de cercle avec l’épée sa tête se détacha de son cou et roula au sol avant que son corps tombe sur le sol inerte .
-Incroyable ! Encore une fois Rafika remporte son combat et gagne 30 points réussira-t-elle à vaincre son prochain adversaire et être la première à atteindre les 1000 victimes ? He bien je vous donne rendez-vous demain pour le combat du siècle !

Je marchais dans le couloir sombre qui menait à ma chambre mais comme à son habitude je croisa mon ”manageurs” Selphish. Il était petit même pour un enfant et assez enrobé avec des cheveux noir et des yeux vert mais malgré son apparence il était le plus grands et puissant entraîneur de monsclaves d’Alysia.
-999 victoires plus qu’une et tu seras libre. dit-il de sa voix rocailleuse.
En temps normale un monsclave gagne des points à la fin de chaque combat et quand il obtient 1500 il est libre, mais quand il m’avait ”engagé” il m’avait proposé 1000 victoires ou 1500 points et j’avais choisi la première option comme une idiote.
-Exacte plus qu’une et je pourrais t’ouvrir la gorge sans craindre de représailles. répondais-je calmement.
Je n’osais pas bouger d’un claquement de doigt il pouvait me tuer. C’était la première fois en 5 ans que j’osais le menacer et ce sera sûrement la dernière, contre toutes mes attentes il rigola comme un fou pendant plusieurs minutes et me regarda droit dans les yeux avant de me dire :
-Tu peux me menacer tant que tu veux mais cela ne rendra pas ton prochain combat moins difficile, à demain dans l’arène . dit-il en s’éloignant .

Je repris ma route vers ma cellule qui ressemblait plus à une chambre royale qu’à une prison je ne pus m’empêcher de sourire en regardant le lit deux places et ses couvertures ou l’immense penderies remplis d’habits de toutes sortes que je n’avais jamais portée et même la salle de bains. Quand je pense qu’il y a 5 ans je vivais sur un lit en bois dans une cellule de la taille d’un placard à balai, j’avais bien progressée !Je me regardai dans le miroir, comme à chaque fois je me disais que le mot monsclave avait été créé pour moi. Je ressemble beaucoup à une humaine normale sauf que mon dos, l’arrière de mes bras, mains et jambe ainsi que mes joues et mes flancs était recouvert d’écailles vertes. Mes pupilles étaient comme celles des chats :une fente verticale noir au milieu de mes yeux bleus et mes oreilles en pointes dépassaient de mes cheveux rouges. Mes dents étaient plus pointus et tranchante que la moyenne, je le savais pour la simple raison que j’avais déjà mangée l’armure d’un de mes adversaire et je pense que des dents humaine n’en sont pas capable . Et enfin je pouvais aussi augmenter la taille de mes ongles pour les transformer en griffes super résistantes de 10 cm aussi tranchante qu’une épée.

Je soupirai en touchant la cicatrice qui se trouvait sur mon ventre ,4 lignes rouges souvenir de mon premier combat et unique défaite, c’était contre l’ancien champion du nom de Gryfenfer j’avais que 12 ans à l’époque et il avait eu pitié de moi. À présent j’étais une tueuse en puissance ! J’aurai bien voulu avoir ma revanche mais il avait disparu peu de temps après ma défaite. Je ramassa mon journal que j’avais caché son mon lit (pas original comme cachette mais c’est mieux que rien). C’était un vieux livre noir avec un dragon dessiné sur la couverture et l’unique souvenir que j’avais de mes parents, il y avait des photos, des textes et des dessins de ma vie avant d’être monsclave, cette vie que j’avais presque totalement oublier (à cause d’un traumatisme avait dit le médecin). Je lue pendant près d’une heure sur l’encadrement de la fenêtre qui donnait sur la cour intérieure du bâtiment (avec vue sur les poubelles quel luxe !) avant que j’entende quelqu’un toquer à la porte
-Rafika, tu es là ? demanda la voix
Je couru ouvrir la porte pour me retrouver devant mon meilleur et unique ami Chiron un monsclave homme jusqu’à la taille et cheval jusqu’aux sabot (il dit qu’il est un cent-or ou quelque chose du genre) il était super musclé avec de cheveux et des yeux noirs et un sourire qui ferais craquer n’importe quelle fille s’il avait seulement deux jambes.

-Chiron. disais-je joyeusement. Vas-y entre !
-Merci, alors tu as encore gagner ton match bravo. dit-il avec un sourire triste
-Yep plus qu’un et je pourrais enfin sortir d’ici.
-Je pense que tu aurais pu déjà t’échapper, après tout tu as une fenêtre dans ta chambre et elle est seulement au 6 étage, tu survivrais facilement à la chute.
-On en a déjà parler. De un il y a une barrière magique et de deux je VEUX entendre Selphish me rendre ma liberté. Ensuite je partirais à la recherche de ma famille avec toi.
-C’est un bon plan. répondit une voix juste derrière moi .
Je me retourna d’un coup toutes griffes dehors, assis sur l’encadrement de la fenêtre se tenait une personne habillée tout en noir on pouvait seulement voir ses mains qui tenaient…
-Mon journal ! Je te conseille de me le rendre tout de suite si tu ne veux pas finir en steak !
-Vraiment ? J’aimerais voir ça.
Je lui sauta dessus mais à quelques centimètres de sa tête il disparut et je me pris la barrière magique qui protégeait le fenêtre en pleine face tandis qu’il réapparaissait juste derrière moi.
-Louper. dit-il en rigolant
-Toucher. répondit Chiron en mettant sa lance sous sa gorge. Maintenant rendez lui son livre.
L’inconnus me le lance, je le rattrapa in-extrémiste et l’inspecta rien ne semblait manquer, la photo de mes parents était toujours là tout comme le dessin de moi et ma maison a côté de mon copain imaginaire une sorte de chat avec des ailes (je précise que je n’étais vraiment pas une artiste) ainsi que les nombreux textes et autre photos.
-Et maintenant monsieur l’intrus pouvez-vous nous dire qui vous êtes et ce que vous faites ici ? demanda Chiron
-Je recherche des membres de ma famille et mes recherches mon guidez vers cette fille. dit-il en me pointant du doigt. C’est une lointaine cousine bien qu’elle soit assez spécial.
-Merci, mon acheteur a dit exactement la même chose quand il m’a ”engagé”.
-Désolé je me suis mal exprimé ce que je voulais dire c’est que même pour ta race tu es une personne très spécial.
-Attendez ! Vous avez dit pour ma race ? Il y en a d’autre des comme moi ? disais-je avec espoir
-Bien sûr ! Mais ils sont assez rare et …Il ne put pas finir sa phrase qu’une sonnerie résonna dans la pièce.
-Ho veuillez m’excuser il est l’heure que je parte, les gardes ne vont pas tarder à me repérer.-Attendez j’ai des centaines de question à vous poser !-Dans ce cas tu pourras me les poser quand tu seras libre demains ! Ah et une dernière chose : la vie est bien plus cruelle que tu ne le crois et elle va te le prouver bien plus tôt que tu ne le penses. Sur ce bonne journée !
Une sorte de brouillard noir l’entoura je tenta de l’attraper mais il avait déjà disparue.
-Dis Chiron t’a une idée de qui était ce type ?
-Pas la moindre, mais ce que je sais c’est qu’il aurait facilement nous tuer si il en avait envie. dit-il en regardant sa lance qui se transforma en poussière dans ses mains
-Mais il ne l’a pas fait et il sait ce que je suis peut-être qu’il sait aussi quelque chose sur ma famille ? Après tout il a dit que j’étais une de ses lointaines cousine !
-Je l’espère.
Nous passâmes le reste de la journée à discuter de l’homme en noir. Chiron avait dit voir deux énormes yeux rouges quand il avait disparue de la fenêtre et moi j’avais remarquée qu’une de ses mains était déformée. Quand la nuit tomba Chiron me proposa :
-Tu devrais te coucher, tu vas avoir besoin d’être au top de ta forme demain. dit-il en quittant la pièce .Bonne nuit championne.
Je tombai sur mon lit mais j’étais incapable de dormir les paroles de l’homme en noir me restaient dans la tête: “La vie est bien plus cruelle que tu ne le crois et elle va te le prouver bien plus tôt que tu ne le pense.” Cette nuit je dormi d’un sommeil agiter peupler de cauchemars.

J’étais devant l’arène, il en existait des centaines de types différents : Pour des monsclave volant ils rajoutent un filet électrifié sur le toit et des plateformes en hauteur ,pour ce qui utilise des sorts ou des projectiles ils placent des barricades et pour ce qui nagent ils remplissent l’arène d’eau et mettent une plateforme flottante au milieux . Si je devais vous faire la liste j’y passerais la journée entière et de toute façon aujourd’hui c’était ce qu’on appelait la “base” un énorme carré entourer de lave en fusion qui servait parfois de poubelle, vous pouvez jeter n’importe quoi dedans vous pouvez être sûr qu’il n’en restera rien, même si se sont d’anciens participants.
La grille s’ouvrit et j’entra dans l’arène mais mon adversaire n’y était pas encore, bizarre. Comme à son habitude le présentateur me fit une magnifique présentation tout en frottant son oreille droite manquante (qu’il avait perdu à cause de ses mains trops baladeuses ,depuis il ne me cherche plus)
-Et voici celle que vous attendez tous la plus grande monsclave de tous les temps avec 999 victoires, je vous demande d’applaudirent Rafika l’impitoyable !!!
La foule hurla, je leva les bras les saluant, bien que je les détestaient faire en sorte que la foule vous aime est l’un des meilleurs moyens de survire. Je les regardais tous jusqu’à ce que mon regard tombe sur Selphish qui souriait de toutes ses dents, je me figeai il n’assistait jamais au combat de ses monsclave excepté quand…
-Et son adversaire avec déjà 100 victoire, je vous demande d’applaudir Chiron le cavalier.

Il était juste en face de moi, Chiron mon seul ami et celui que je considérais comme mon unique famille en tant que monsclave. Ses yeux étaient vitreux et il tremblait. Ces batards l’avais drogué pour qu’il me combatte ! Je me rappelai les paroles de l’homme en noir. C’est ce qu’il voulait dire à propos de la vie qui était cruelle ! Il savait pour Chiron ! De son cotés Selphish riait au éclats après avoir vue ma tête et prononça quelques paroles que j’entendis résonner dans mon crâne.
-Bonne chance petite monstre.

La cloche retentis et Chiron me fonça dessus et croyez-moi un cheval qui vous court dessus à pleine vitesse est très ,très rapide. Je parviens à esquiver sa lance au dernier moment et je vis quelques cheveux rouges tomber au sol juste avant que Chiron charge à nouveaux. Je me fatiguais vite et esquiver sa lance tout en réfléchissant à une stratégie pour le battre sans le tuer était compliqué et après quelques minute à jouer au chat et à la souris il parvient à me toucher mon bras gauche, l’entaille n’était pas profonde mais le poison qui recouvrait la lance fit le travail.
Normalement il tue tout ce qui entre en contact avec lui en moins d’une minutes en contractant tous les muscles de sa victime jusqu’à atteindre le cœur. Mais mon corps était plus résistant que la moyenne et je perdit seulement mon bras gauche devenue impossible à bouger. Il me chargea encore mais cette fois je décida de répliquer, je fis tourner mon corps le plus vite possible et utilisa mon bras gauche ,déjà inutile, pour intercepter sa lance qui fut propulsée à l’autre bout de l’arène et lui frappa ensuite ses pattes avant, il fit trois bonnes roulades avant de s’immobiliser les quatre fer en l’air. Mon bras gauche me faisais souffrir mais c’était encore supportable. Je m’avançais vers lui avec la ferme intention de le tuer mais en voyant son visage j’hésita. Je n’avais jamais hésitée à tuer un adversaire dans toute ma vie que ce soit la souris jaune tout mignonne ou le gamin qui pleurait toute ses nuits dans la cellule à côté de la mienne. Ces quelques seconde d’hésitation furent ma perte, Chiron se redressa et me sauta dessus je fus instantanément plaquée au sol par 300 kilos de chevalin pur-sang et seul mon bras droit et ma tête avait été épargnés. Il commença à me frapper jusqu’à ce que ma tête tourne, ses phalanges étaient en sang quand il se rendit compte qu’il se faisait plus mal à lui qu’à moi. Il leva sa mains droite et sa lance vola vers lui, il la leva au-dessus de sa tête les bras tremblants et frappa.
Je fermais les yeux en attendant la fin … Rien ne se passait . J’ouvrit lentement mon œil droit pour voir une sorte d’aura verte autours de sa lance qui l’empêchait de me transperçait la tête , je ne savais pas pourquoi elle était là ni comment elle était apparue mais elle commençait déjà à faiblir. Les idées fusaient dans ma tête : je pouvais esquiver la lance mais ça ne retarderait ma mort que de quelques secondes, je pouvais tenter de le soulever mais 300 kilos était trop même pour moi, je choisie l’unique option qu’il me reste et ironiquement appliqua le premier conseil que Chiron m’avait jamais donner :
-Dans l’arène c’est tuer ou être tuer !
Je ressembla tous les doigt de ma mains valide et frappa à la base de son cou ,ma mains pénétrât sa chair comme dans du beurre .Il trembla légèrement avant que sa lance ne tombe de ses mains et qu’il s’écroule sur moi ,j’entendis un léger désoler (peut-être mon imagination) puis plus rien seulement le silence je poussa son corps pour me dégager et le secoua.
-Chiron, Chiron aller arrête de plaisanter je sais que t’es en vie ! Aller lève toi !
Je sentais les larmes couler sur mes joues
-S’il te plait réveille toi ! Je sais que t’es pas mort ! Chiron ?
Je regarda le sang sur ma mains, SON sang et je hurla . Il était mort j’avais tué mon seul ami ! Ma seule famille ! Non ce n’est pas possible ce n’est pas moi qui ai fait ça, CE N’EST PAS MOI !!!
Je regarda les tribunes où Selphis riait au éclat à côté de lui se tenait une silhouette habiller en noir avec de grands yeux rouge. Puis je tombai et tout devient noir

Quand je me réveilla j’étais dans un lit à l’infirmerie à ma droite se trouvait un des rares docteurs spécialisés en monsclave et assis à côté de lui l’homme en noir.
-Ah vous êtes réveillée, ne vous inquiétez pas le poison dans votre bras gauche à presque totalement disparus et vous n’avez aucun os casser . me dit le docteur
-Et Chiron. répondais-je faiblement .
Il secoua la tête et je commença à pleurer ce n’était pas un cauchemar. Je regardai à ma gauche les grands yeux rouges me fixait toujours et je commença à hurler :
-Vous, vous saviez ! Pourquoi vous nous aviez rien dit, pourquoi vous l’avez laissé mourir !
-Et qu’auriez-vous fais si je vous avais prévenue ? Vous vous seriez dit au revoir en pleurant ! Vous auriez élaboré un plan qui n’aurais jamais fonctionner ! La vie est bien plus compliquer et cruelle que ça ! répondit-il en criant. Tu n’aurais rien pu faire pour le sauver et moi non plus ,la Mort nous guette tous ton amie le savait, je l’ai prévenu, et il a quand même décidé de mourir pour te laisser une chance ! Tu dois faire table rase de ton passé et te concentrer sur l’avenir c’est le seul moyen d’avancer.
Je voulais lui répondre qu’il ne savait rien, lui répondre qu’il avait tort et qu’avec son aide j’aurais pu le sauver ! Mais se saurais mentir à moi même. J’entendis un raclement de gorge de l’autre côté de la salle je tourna ma tête et reconnus Selphish, tous les muscles de mon corps se contractèrent le responsable de tout mon malheur juste devant moi, à portée de griffe. Je sentie la colère monter, il avait fait exprès de me faire combattre Chiron et il venait de me voir désespérer exactement ce qu’il voulait ! Un seul coup à et je pourrais me venger, moi et mon meilleur ami !
-Je vois que tu t’en est sorti en vie, dommage que ce ne soit pas le cas pour ton ami. dit-il avec un énorme sourire. Comme la tradition l’exige je te demande maintenant si tu souhaites vivre libre ou bien combattre de nouveaux dans l’arène. Quel est ton choix?
-Mon choix est que je vais te tuer enfoirer !
Je tenta de lui sauter dessus mais mes muscles me lâchèrent et je tomba sur le sol juste devant lui en larme.
-Je suis vraiment heureux que tu décides de rester à mes côtés dans l’arène. dit-il avec un sourire sadique.
-Quoi !? Je n’ai jamais acceptée et je préférerais mourir que de rester une monsclave !
-Mais voyons tu as accepté de continuer, après tout j’ai deux témoins ici présents qui peuvent en attester, dit-il en se retournant. N’est-ce pas messi…
Il n’eut pas le temps de terminer sa phrase qu’une épée noire lui trancha la gorge et derrière lui se trouvait deux yeux rouges.
-Voyez-vous mon cher Selphish. commença l’homme en noir , je déteste voir les membres de ma familles souffrir même si je n’ai appris leur existence il y seulement quelques jours et ça fait presque 5 ans que vous la torturer. Les salauds de vôtres espèce pourriessent notre monde et un de moins ne dérangera personne. Vous serrez votre gorge
Ne vous inquiétez pas la coupure n’est pas profonde vous vous viderez de votre sang que pendant 4 courtes minutes et n’importe quel médecin pourrais vous sauvez mais malheureusement notre cher docteur ici présent à décidé de faire une petite sieste.
Le fameux médecin avait à présent une bosse de la taille d’un œuf sur la tête et les fesses en l’air, Selphish lui tomba à genou tandis qu’une flaque de sang se formais au niveau de ses jambes. L’homme en noir se dirigea vers moi et me mis sur ses épaules
-Hé vous faites quoi là ?!
-Je te fais sortir d’ici tu as bien mérité ta liberté.

Je voyais Selphis genoux au sol, ses petits yeux vert me fixaient avant de tomber la tête en avant, il avait encore deux bonnes minutes à vivre et mon seul regret était de ne pas pouvoir rester à ses côté jusqu’à sa fin. L’homme en noir commença à courir à travers les couloirs. Il me tenait à une main et faisais sauter les cadenas des cellules avec l’autre qui s’était transformer en patte recouverte d’écaille noir jusqu’à ce qu’on atteigne une énorme porte qui faisais facilement 4 fois ma taille et me déposa au sol. J’entendais déjà les cris d’alarme derrière nous, les monsclaves étaient libres et ils allaient faire comprendre à leurs employeurs qu’ils n’avaient pas apprécier être enfermé. Après avoir assommé les gardes l’homme en noir leva les mains et prononça deux mots très bizarres juste avant que la porte explose.
Quand la poussière retomba je pus enfin contempler le monde extérieur. C’était magnifique, on pouvait voir une immense mer bleue avec des dizaines de petits bateaux et le soleil qui se levait et colorait le ciel d’une belle teinte rouge orangé. Sur la droite se trouvait des plaines remplis d’arbres et d’animaux. Au milieu de la ville on pouvait apercevoir un marché avec des centaines de fruits, légumes ,viandes, pains et autre marchandises plus différente les uns des autres et à droite deux énormes montagnes blanches comme la neige. Je n’arrivais pas à fermer la bouche devant tant de beautés. Moi qui avais vécu 5 longues années de ma courte vie dans le sang et la mort découvrait enfin le monde. Je sentie une main se posez sur mon épaule et l’homme en noir me dire :
-Bienvenue dans le monde de la lumière.

Fin du chapitre 5

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